Réalisation de projets sociaux pour l'aide aux réfugiés et aux victimes dues aux violences dues aux conflits en RDC.

L'AIDCC a comme objectif d'apporter toute l'aide sociale à la population victime de déportations dues aux conflitrs internes en RDC (Plus de 1.2 million réfugiés) , des victimes de violences sexuelles liées aux conflits depuis 1993 (1,5 million de femmes violées) et des victimes des crimes contre la paix et la sécurité de l'humanité (Respect des droits de l'homme). Notre ONGD a les possibilités de créer des structures pour les aider à retrouver un environnement social acceptable au niveau habitat, au niveau médical, au niveau alimentaire , au niveau éducatif et au niveau intégration dans la société. Notre ONGD peut ainsi participer aux programmes gouvernementaux de la RDC, le FONAREV, et d'organismes internationaux (FCDO par exemple) pour faciliter l'intégration socio-économique des victimes dues aux conflits internes en RDC.
Le "Geno-cost", soit génocide pour des gains économique, en République Démocratique du Congo concerne les conflits actuels, qui ont coûté la vie à plus de six millions de personnes depuis 1993. juquà la fin 2024. Ce génocide est en train de se poursuivre vu l'état de guerre actuellement entre le Rwanda at la RDC dans les régions du Nord et Sud Kivu et demande l'aide des organismes internationaux et des organisations nationales de développement (ONG et ONGND)
Vulnérabilité des femmes en 2025
Si la présence massive d'hommes armés dans et à proximité des sites de déplacés explique cette explosion des violences sexuelles, l'insuffisance de la réponse humanitaire et les conditions de vie inhumaines dans ces sites les alimentent. Le manque de nourriture, d'eau et d'activités génératrices de revenus aggrave la vulnérabilité des femmes et des filles, contraintes de se déplacer dans les collines et les champs autour des sites où se trouvent de nombreux hommes armés. D'autres sont victimes d'exploitation sexuelle pour subvenir aux besoins de leur famille. Dans les sites, le manque d'installations sanitaires et d'hébergements sûrs pour les femmes et les filles les expose aux agressions.
Pour pouvoir remédier à ces vulnaribilité, on doit également investir dans une meilleure prise en charge médicale, sociale, juridique et psychologique des victimes de violences sexuelles. Cela passe notamment par des financements assurés sur le long terme, permettant un renforcement de la formation médicale, l'approvisionnement des structures de soins en kits post-viol, l'accompagnement juridique, la mise sur pied d'hébergements pour les survivantes ainsi que d'activités d'information et de sensibilisation visant à prévenir la stigmatisation ou la marginalisation des victimes, qui les empêchent parfois d'aller chercher de l'aide.